Léa Seydoux va donner ce dimanche 16 novembre à
18 h 30 le coup d’envoi des illuminations des
Champs-Élysées, un événement gratuit attendu par
des centaines de milliers de personnes. « Léa Seydoux sera la
deuxième James Bond girl à devenir l’égérie des
illuminations, après Sophie Marceau. C’est une actrice admirée dans
de nombreux pays du monde entier, elle incarne cette dimension
planétaire et festive que représentent les Champs-Élysées », a
expliqué Marc-Antoine Jamet, selon Le Parisien. Le
président du Comité Champs-Élysées promet un show totalement
repensé, mêlant LED connectées et intelligence artificielle : « Pour
conserver l’émerveillement, pour magnifier l’événement, nous avons
tout transformé. Du sol au plafond ! »

Mais quand on parle de Léa Seydoux, deux formules reviennent
inlassablement. « École de la vie » et
« poulet yassa », ces mots-clés d’anciennes
interviews refont surface, relancent des captures d’écran et
chauffent les commentaires. Marraine des illuminations des
Champs-Élysées, l’actrice doit lancer, dimanche 16
novembre à 18 h 30, un spectacle entièrement repensé. Pourquoi ces
deux formules cristallisent-elles encore l’attention ?

L'actrice Léa Seydoux 
©
Shutterstock

Léa Seydoux et l’école de la vie…

Première expression pointée : école de la vie. Reprise,
commentée, souvent détournée, elle a agacé. Et pour cause, Dans une
revue accordée au Madame Figaro en 2016, la James
Bond Girl déclarait: « Je ne sais pas comment j’ai appris à
jouer… mais on vient tous les deux de l’école de la vie ».
Une sortie qui avait fait réagir sachant que la comédienne n’est
autre que la petite-fille de Jérôme Seydoux, patron de Pathé et
petite-nièce du patron de Gaumont.

Cette courte formule ressort d’ailleurs à chaque pic de
visibilité. Rien de plus, rien de moins : un rappel récurrent qui
s’invite dès que son nom redevient omniprésent. Mais ce n’est pas
tout…

Léa Seydoux 
©
Shutterstock

Léa Seydoux, marraine des
Champs-Élysées, toujours associée au poulet yassa ?

Deuxième expression exhumée : poulet yassa. Référence culinaire
transformée en repère de discussions, elle ressort au même moment
et nourrit quelque réactions épidermiques. Là encore, l’étiquette
compte plus que la phrase initiale, l’archive circulant de fil en
fil.

Dans un entretien à Paris
Match réalisé en 2013, Léa Séydoux faisait part de son amour
pour le Sénégal où travaille sa mère Valérie Schlumberger. « J’y
suis allée souvent. Ce coin du monde fait partie de ce que je suis
aujourd’hui. Même si j’ai grandi à Paris, Gorée est dans mon sang,
tatouée dans ma chair », avait-elle expliqué.

Et d’ajouter :
« Aujourd’hui, j’habite près de Château-Rouge (quartier
populaire du XVIIIe arrondissement de Paris). Dans le bus, quand
une Africaine s’assoit près de moi, le tchouraï, le parfum de
séduction dont elles s’aspergent, me fait décoller et me donne
envie de manger du
poulet yassa
« . Une phrase qui fait encore rire
les internautes 12 ans après.