Ses larmes en bord de terrain, alors qu’il est interviewé par le diffuseur irlandais de la rencontre, nous rappellent pourquoi on aime le foot, encore et toujours. Troy Parrot est le héros irlandais de la semaine, et pas qu’à moitié. Alors que son équipe devait gagner ses deux matchs face au Portugal puis en Hongrie pour gratter une place en barrages pour la Coupe du monde, l’attaquant d’Alkmaar s’est chargé de tout.

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D’abord un doublé contre CR7 et ses copains (2-0), puis un triplé à Budapest, dont un dernier point du raccroc à la 96e minute, alors que tout semblait perdu pour la nation de Roy Keane et de Bono. L’explosion de joie de tout le groupe irlandais a été à la hauteur, évidemment, comme l’émotion du bonhomme en interview, malgré l’accent à couper au couteau, évidemment (aussi).

« C’est pour ça qu’on aime le foot, parce que des choses comme ça peuvent arriver, articulait péniblement le jeune homme de 23 ans, étranglé par son bonheur. J’adore d’où je viens, ma famille est ici, ce but signifie tout pour moi. C’est la première fois que je pleure depuis des années, je n’arrive pas à y croire ». Nous non plus, à vrai dire, mais on reparlera de Parrott au printemps, quand il éliminera l’Italie au bout du temps additionnel à San Siro ou ailleurs.