C’est au nom de la « compétitivité » et de la « souveraineté » européenne en matière de numérique qu’Emmanuel Macron et le chancelier allemand Friedrich Merz devraient plaider, mardi 18 novembre à Berlin, pour une « simplification » des règles en vigueur dans l’Union. Tel est l’agenda politique de ce sommet franco-allemand, qui aura par ailleurs pour but d’accélérer la « préférence européenne dans la commande publique » afin de permettre l’essor de services numériques européens pour contrer l’hégémonie de la tech américaine.
Cet article est réservé aux abonnés
Vous souhaitez lire la suite ? Abonnez-vous sans engagement à notre offre numérique