Eurocorps, le corps d’armée européen, devant le Parlement de Strasbourg, durant les commémorations des 80 ans de la fin de la Seconde Guerre mondiale, le 7 mai 2025.

Eurocorps, le corps d’armée européen, devant le Parlement de Strasbourg, durant les commémorations des 80 ans de la fin de la Seconde Guerre mondiale, le 7 mai 2025.  FREDERICK FLORIN/AFP

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Un « Cema » ne devrait pas dire ça… Les propos du chef d’état-major des armées Fabien Mandon face à l’assemblée annuelle des maires de France, le 19 novembre, ont provoqué un séisme : « Ce qui nous manque, c’est la force d’âme pour protéger ce que l’on est. Si notre pays flanche parce qu’il n’est pas prêt à accepter de perdre ses enfants – parce qu’il faut dire les choses –, de souffrir économiquement – parce que les priorités iront à la production défense –, alors on est en risque. » Face à l’indignation provoquée par ces accents sacrificiels, la porte-parole du gouvernement, Maud Bregeon, a dû préciser que « nos enfants n’iront pas combattre et mourir en Ukraine ». En coulisse, le milieu de la défense reconnaît une erreur de communication.

Fabien Mandon n’en est pourtant pas à son coup d’essai. Depuis son entrée en fonctions en septembre, ce général proche d’Emmanuel Macron s’est donné pour mission de « préparer les esprits », comme on dit à l’Elysée. Lors de son audition parlementaire le 22 octobre, il expliquait que « l’armée frança…

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