Christophe Mercy fait son retour sur le petit écran. On l’a connu en 2001, dans « Loft Story ». Et le voilà au casting de « La Bataille, la malédiction de l’île », sur TFX. A cette occasion, il se livre auprès de « Purepeople.com » et évoque sa nouvelle vie loin de la capitale avec sa femme Julie et leurs deux enfants.
Il y a vingt-quatre ans, Loft Story révolutionnait le monde de la télévision. Après plusieurs semaines d’enfermement, deux participants sont ressortis gagnants du jeu : Loana et Christophe. Si la trajectoire de la première a été largement suivie, le second a préféré s’éloigner des strass et paillettes. Mais il n’en reste pas moins que son quotidien à changé : Christophe Mercy a trouvé l’amour grâce à Loft Story. Il s’est depuis marié à Julie, elle aussi candidate de l’émission, et ensemble ils sont parents de deux enfants : Matis (22 ans) et Solan (15 ans). Une vie paisible que Christophe Mercy a mis sur pause le temps d’une aventure. En effet, avec son aîné, il a participé à La Bataille, la malédiction de l’île. Le duo a été éliminé lors de l’épisode diffusé mercredi 19 novembre 2025 sur TFX. Après le tournage, retour à la maison. Et quelle maison ! Auprès de Purepeople.com, Christophe Mercy se livre sur sa vie paisible avec femme et enfants.
Comment, à l’époque, avez-vous vécu l’après Loft Story ?
Alors, c’est pour ça qu’on a une petite appréhension des réseaux. Parce que l’après Loft a été quand même très, très compliqué. C’est-à-dire que ça a été une vraie vague d’anxiété aussi, parce qu’on n’était pas préparé du tout à connaître la notoriété. Ce n’est pas quelque chose qu’on désirait. Et donc, franchement, on ne va pas se mentir, moi, j’ai eu de la chance d’être avec Julie. Pour les autres candidats aussi, ça a été compliqué de vivre une notoriété : d’un coup, les gens nous découvrent, nous aiment, nous regardent, alors qu’avant, ce n’était pas forcément le cas aussi facilement. Donc, oui, j’ai trouvé ça très, très déstabilisant à l’époque. Et il a fallu du temps pour gérer ça émotionnellement.
Avez-vous gardé contact avec des anciens Lofteurs ?
Oui, bien sûr. On a encore des contacts avec des anciens. C’est vrai que chacun fait sa vie. C’est vrai que je resterai toujours nostalgique de cette émission. Je les aime tous. On a partagé quelque chose de tellement exceptionnel. On aimerait se faire un petit week-end ensemble. Mais ce n’est pas possible parce qu’on a un peu dévié chacun dans nos vies. Ça restera l’un des plus gros souvenirs de ma vie, c’est clair.
Votre vie avec Julie semble bien rangée : mariage, enfants, maison… Comment décririez-vous votre quotidien ?
Mon quotidien est le plus banal du monde. J’ai une vie tout à fait normale. On vit à la campagne. Julie a un gros boulot. Moi, je viens de m’arrêter de travailler pour m’occuper de chez nous. Donc on peut dire que je suis papa au foyer avec des grands enfants pour l’instant. Je vais reprendre le boulot, je pense, dans pas longtemps. J’ai deux grands enfants qui sont totalement normaux. Une vie banale, franchement.
J’ai lu que vous avez déménagé à la campagne…
Oui, ça fait un petit moment. Après le Loft, on a quitté Paris. On a toujours essayé de trouver des endroits où on n’était pas trop, on va dire, collés aux autres. Plus on a de l’espace, plus on est content. Et là, c’est vrai qu’on a trouvé une maison avec deux hectares de terrain où on n’a pas de voisins, donc c’est vrai que pour moi, c’est un grand bonheur. J’adore le côté liberté. Même si un tel espace demande beaucoup de boulot. Donc même si en ce moment je ne travaille pas, j’ai pas mal de boulot à l’extérieur de la maison !
Quel est votre métier et celui de Julie aujourd’hui ?
Ma femme est responsable commerciale pour un groupe hôtelier, ce qui fait qu’elle a un gros portefeuille client et qu’elle gère beaucoup d’entreprises et beaucoup de gens. On peut dire qu’elle a un bon poste. Et puis, moi à côté, je suis un saltimbanque qui a déjà exercé une dizaine de métiers différents depuis que je suis sorti du loft. J’ai été aide-ménager, chauffeur livreur, travaillé dans les alliances de mariage, j’ai aussi fait dix ans dans l’électronique. En fait, je fais tout et un peu n’importe quoi parce que j’ai juste besoin de compenser finalement un ‘salaire’, je n’ai pas de pression ultra forte, ça, c’est plutôt cool. Et là, le fait qu’on ait déménagé et que j’ai pu m’arrêter, notamment pour moi, mais surtout, le fait de pouvoir accompagner ma femme aussi, c’est-à-dire que c’est génial pour elle de rentrer, de mettre les pieds sous la table et que son mari fasse les courses, le ménage, la bouffe, gère les allers-retours des enfants. Je ne bosse pas beaucoup. Mais pendant ce temps-là, je peux l’accompagner au maximum pour qu’elle puisse passer des bons moments.
Quelles études font vos enfants ?
Alors, mes enfants ne sont pas de grands bosseurs. Le plus grand est prof de tennis. Il est pour l’instant dans un club pour enfants. Et il va essayer de passer un diplôme supérieur pour pouvoir donner des cours individuels. Il compense aussi, puisqu’il travaille aussi un peu à l’hôte : grâce à ma femme, il fait aussi des extras et il bosse un peu en tant que serveur. Et mon petit a 15 ans. Il est tranquille, pour l’instant et ne se prend pas trop la tête. Il ne sait pas encore ce qu’il veut faire mais pas de pression pour l’instant.
Quels sont vos projets ?
On n’a pas de projet spécial. De mon côté, juste de reprendre le travail. Parce qu’effectivement, ça fait quand même deux ans que je ne travaille pas, donc il va bien falloir que je me bouge. Julie continue son boulot de labeur et c’est très bien, les enfants se trouvent bien…
Dans quel domaine souhaiteriez-vous reprendre une activité professionnelle ?
Dans n’importe quoi de ce qui va m’être proposé ! Parce que souvent, je rencontre des gens, le hasard de la vie fait que je reçois des propositions, des possibilités. Sinon je me verrais bien juste aller en agence d’intérim et prendre des boulots différents tous les quatre mois, dans le temps.
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Article original sur Purepeople