Dans un monde où tout s’accélère, l’événement Social Change 2025, organisé par API News, le média économique de Ouest-France, remet de l’ordre dans le chaos et trace la route. Une journée pour comprendre ce qui se joue vraiment en matière de Responsabilité sociétale des entreprises (RSE), écouter ceux qui ont déjà basculé… et repartir avec des solutions qui changent la donne. Clair, concret, percutant : l’événement où la transition cesse d’être un slogan et devient une stratégie. Voici sept raisons d’y aller :
1. Revoir la réalité en face… mais avec des solutions à portée de main
On commence fort : Jean-Marc Jancovici en ouverture, pour clarifier le paysage. Il remet les curseurs au bon endroit : énergie, climat, résilience, compétitivité… tout ce qui conditionne le futur des entreprises. Une mise au point nécessaire pour naviguer dans la tempête, avec un objectif simple : savoir où l’on met les pieds avant de décider où avancer.
2. Découvrir ce qui rend une entreprise vraiment robuste
On entend tout et son contraire sur la résilience. Ici, on sort de la théorie. Entre Groix & Nature, le modèle Goodwill ou les projets menés chez EDF, cette table ronde explore ce que signifie réellement “tenir le choc” : relocaliser, coopérer, maîtriser ses risques, réinventer sa chaîne de valeur. Ni poudre aux yeux, ni slogans : seulement des dirigeants qui expliquent ce qu’ils ont changé, pourquoi, comment… et ce que ça leur a rapporté.
3. Comprendre ce que la météo dit déjà de notre avenir économique
Quand le climat devient imprévisible, c’est toute l’organisation qui vacille. Louis Bodin vient montrer comment les phénomènes extrêmes bouleversent déjà les bilans, les stocks, les transports, l’énergie, et même l’Histoire ! Là encore, pas de fatalisme : des outils, des signaux faibles, et des stratégies pour éviter les mauvaises surprises. Une séquence qui relie météo et business comme vous ne l’avez jamais entendu.
4. Respirer, rire… et regarder la RSE autrement
Juste avant le déjeuner, un moment décalé : Frédéric Fromet. Un patchwork de chansons qui grattent là où ça fait mal. Climat, bullshit corporate, contradictions, bonne conscience mal placée… tout y passe. C’est drôle, piquant, et surtout salutaire : parfois, pour avancer, il faut se regarder avec un peu de distance.
5. Faire le plein de cas d’école et d’outils concrets
La force de Social Change, c’est cette alternance entre inspiration et action. De la mutualisation des travaux énergétiques aux projets menés par l’Adie, du baromètre RSE breton aux retours d’expérience d’entreprises engagées (LCL, Technature, IDEA…), vous repartirez avec des méthodes, des contacts, des idées duplicables et des preuves que la transformation fonctionne… quand elle est pensée sérieusement. Et puis vous apprendrez aussi comment planter son bilan carbone : instructif si on ne veut pas avancer.
6. Entendre des leaders qui ont décidé de «faire un pas de côté»
Le navigateur Armel Tripon racontera comment on peut concilier performance et sobriété en course au large. Le groupe Orange expliquera pourquoi personne ne peut réussir la transition seul. Et à chaque fois, la même constante : des personnes qui ont choisi d’agir, malgré les contraintes, et qui montrent que la responsabilité n’est plus un supplément d’âme mais un levier de compétitivité, et de compétition.
7. Se connecter à un écosystème qui avance
Entre les stands partenaires, les médias présents, le dessinateur Benoît Vieillard qui croque les moments phares et les nombreuses pauses prévues pour discuter entre décideurs, Social Change n’est pas seulement un événement : c’est un accélérateur. C’est ici que naissent les idées communes, les projets transverses, les coopérations qui rendent la transition finalement… possible.
_ Social change 2025, dixième édition, mardi 2 décembre au Couvent des jacobins, à Rennes. Inscriptions avec 50 % de réduction en utilisant le code « SC2025FIFTY » sur la page https://socialchange.ouest-france.fr/inscriptions