“Nos morts sont politiques.” À Strasbourg, le message inscrit sur la banderole noire ouvre le cortège de la manifestation qui commémore les morts de la transphobie et de la transmisogynie. Près de 210 personnes font front, à l’appel de plusieurs organisations locales.

« C’est bien mignon de se souvenir, mais nous sommes les prochains sur la liste. Nous sommes des victimes potentielles », soutient Cornelia Schneider, femme trans, militante syndicale…