Voilà c’est fini. La dernière partie du bilan de la saison 20 de « L’amour est dans le pré » est déjà disponible sur les plates-formes M 6 + et MyCanal avant sa diffusion le 1er décembre prochain. Et là encore, il réserve son lot de surprises.

Évacuons tout de suite les couples qui vont bien et les tourtereaux que l’on retrouve follement amoureux face à Karine Le Marchand. On n’était pas très inquiet pour Mathieu et Clémence. On est ravi de voir les deux jeunes gens au bilan, toujours collés après 5 mois de relation et partageant le même toit depuis une semaine.

Même plénitude pour Gilles et Isabelle qui ont déjà un chien et un chat et s’amusent comme des « éternels ados ». « Est-ce que tu as des petites pannes », demande malicieuse Karine Le Marchand pour s’assurer que tout va bien, côté sexe. Le céréalier s’était confessé avec émotion sur quelques blocages dans le passé liés à des problèmes hormonaux. « Il n’y en a pas eu », répond-il rassurant. Tout va bien aussi pour Géraldine, l’éleveuse d’alpagas, rayonnante à côté de Jérôme, chauffeur livreur qui vient de démissionner de son travail pour la rejoindre à la ferme. « C’est difficile de les caser les filles, reconnaît l’animatrice souvent confrontée à des agricultrices reparties célibataires les saisons précédentes. On a arrêté la malédiction ».

Coup de foudre mais plus de nouvelles

Au milieu de tout ce bonheur, d’autres agriculteurs restent célibataires dans cette deuxième partie de bilan. Julien notamment, dont le coup de foudre pour Louise semblait toujours produire ses effets. « C’était le big love, il y avait des mots d’amour, des je t’aime », raconte-t-il. « Je ressens beaucoup de sentiments », confirmait sa dulcinée lors des émissions précédentes. Un week-end à Édimbourg, dont les images sont diffusées dans cette ultime émission, confirme cette passion naissante. « Je la vois bien être la mère de mes enfants », confesse alors l’agriculteur face caméra.

Et pourtant, il arrive seul au bilan. « Quatre jours après le voyage, je l’ai sentie plus distante. Elle m’a d’abord dit : tu t’inquiètes pour rien. Et puis, quelques jours plus tard, elle m’a dit qu’elle était perdue, que ça avait été trop vite ». Et depuis, plus de nouvelles. « Elle a disparu, regrette Julien. On s’est fait un bisou à la gare en rentrant et je ne savais pas que c’était le dernier ».

Mais ce n’est rien à côté de l’histoire rocambolesque de Jean-Louis et Isabelle, pas loin du vaudeville en trois actes. Le premier, romantique, avec grande déclaration d’amour sur le petit pont de bois du Nordiste. Le second, glacial, lorsque la prétendante laissait en plan son agriculteur au milieu d’un bar. « Quand on mange à deux, on ne parle pas, lui lançait-elle. J’ai l’impression d’être dans une relation routinière de 20 ans. On va s’arrêter là ». Et, on en était resté là.

« On s’est séparé il y a quelques heures »

Sauf que lors de son bilan, Jean-Louis annonce qu’il a renoué avec sa prétendante. Et la voilà qui apparaît soudain. « Elle m’a recontacté. On a rediscuté huit jours au téléphone. Je l’ai revue. Elle m’a dit : maintenant tu parles plus ». Isabelle, une fois assise, confirme sa volonté de « ne pas rester sur un échec », jure avoir pris « beaucoup de recul ». « On a échangé plus facilement », affirme-t-elle. « Donc, vous êtes de nouveau ensemble », balance Karine Le Marchand pleine de certitudes. « On était… On s’est séparé il y a quelques heures », annonce de nouveau l’ex-compagne de Jean-Louis. « Vous vous êtes quittés aujourd’hui ? Là ? Maintenant ? » demande l’animatrice médusée. « Oui. Il y avait des différents, poursuit Isabelle. J’attendais plus d’attention de sa part. Il y a des choses que Jean-Louis ne peut pas m’apporter, me prendre par la main… J’ai besoin d’être rassurée. ». « J’ai vécu longtemps seul. Il me faut du temps pour me réadapter », se défend l’intéressé. La maîtresse de cérémonie pense logiquement qu’Isabelle a mis fin à leur relation. « Je ne le quitte pas, c’est lui qui me quitte », affirme Isabelle dans la confusion générale. « Je préfère arrêter. On n’est pas fait l’un pour l’autre », conclut Jean-Louis. Jusqu’au prochain rebondissement ?