Si dans la vie de la fille de Jane Birkin et de son compagnon Stéphane Manel la capitale a une place importante, la petite famille s’est aujourd’hui aménagée un petit cocon, loin des embouteillages parisiens : un belle demeure au beau milieu de la nature, et décorée d’une manière très vintage.

Si Paris occupe toujours une place importante, dans sa vie, Lou Doillon s’est un peu éloignée, depuis plusieurs années, du tumulte de la ville. La fille de Jane Birkin et du cinéaste Jacques Doillon élève en effet une partie de l’année son petit garçon, Laszlo Keats Miller Manel, né le 26 juillet 2022, à la campagne, en Normandie, dans une belle demeure traditionnelle dont elle partage souvent des photos, sur son compte Instagram. « Je vis en partie à la campagne », a récemment confié la demi-sœur de Charlotte Gainsbourg à Madame Figaro, avant de détailler les gestes écolos qu’elle avait mis en place, dans son havre de paix. « J’ai un compost, un potager, une réserve d’eau de pluie et des panneaux photovoltaïques, avait indiqué la quadragénaire dans les colonnes de l’hebdomadaire. C’est la moindre des choses de recycler, de ne plus acheter de bouteilles en plastique… De faire des efforts ordinaires, en somme. »

Le 24 août 2025, Lou Doillon avait notamment partagé des clichés de son été à la campagne, avec ses enfants, profitant du soleil, mais aussi des fruits et des légumes du jardin, loin, très loin des embouteillages parisiens. L’été précédent, le 27 août 2024, la mannequin et créatrice de 43 ans avait déjà posté quelques-uns de ses instants à vie dans sa maison, où le petit Laszlo Keats Miller Manel semble apprécier les choses simples, comme la cueillette ou les promenades dans les champs. Et ça, ça n’est visiblement pas pour déplaire, non plus, à son papa, l’illustrateur Stéphane Manel. Le compagnon de Lou Doillon s’est en effet récemment livré à quelques confidences sur son rejet de la vie parisienne, dans Gala.

« Je n’aime plus Paris », confie Stéphane Manel

Dans le numéro daté du 9 octobre 2025 de Gala, Stéphane Manel confie en effet qu’il n’est plus vraiment attaché à Paris, qui a pourtant une place très importante dans sa vie. « Moi, je n’aime plus Paris, enfin le Paris d’aujourd’hui« , confie l’illustrateur, qui s’est notamment fait connaître en 1998 avec réalisant la pochette de la réédition du Poinçonneur des Lilas, de Serge Gainsbourg. « Il ne m’inspire pas », ajoute le compagnon de Lou Doillon. Contrairement à sa grande fille, Tess, âgée de 14 ans, qui, elle, est fan de la capitale. « Il y a un an, elle m’avouait qu’elle ne pouvait pas vivre ailleurs que dans cette ville qu’elle adore », poursuit l’artiste de 54 ans, qui dit comprendre, toutefois, son point de vue. « Pour moi, à son âge, Paris était un rêve », confie-t-il. Stéphane Manel a en effet grandi dans la banlieue chic de Paris, a étudié et a travaillé dans la capitale. Mais aujourd’hui, c’est en Normandie qu’il aime se retirer régulièrement, avec Lou Doillon et son petit garçon. Gala précise d’ailleurs que ses prochains projets, il a prévu de les concrétiser dans leur maison à la campagne, où « le téléphone portable ne passe pas ». « Pour le joindre, il faut l’appeler à l’ancienne, sur une ligne fixe », détaille le magazine. Être coupé du monde, ou presque, Stéphane Manel « apprécie l’idée ».

Il faut dire que la maison que Lou Doillon et Stéphane Manel occupent en Normandie a un charme fou. Sur les photos que la fille de Jane Birkin publient sur son compte Instagram, on distingue une demeure à l’ancienne, en pierres apparentes, au beau milieu de la nature, avec des champs et des arbres fruitiers à perte de vue. L’intérieur de cette maison est, lui aussi, très charmant. Lou Doillon et Stéphane Manel en ont fait un cocon à la décoration très old school, avec des objets et du mobilier, on l’imagine, chinés dans les brocantes.

Article original sur Purepeople