C’est derrière les murs du laboratoire de biologie médicale du CHU de Saint-Etienne que figure une unité invisible du grand public : l’unité fonctionnelle de parasitologie-mycologie logée au sein du service des agents infectieux.

Depuis qu’un service mixte dermato-mycologique a été ouvert, en lien avec la dermatologie, au sein de l’hôpital pour proposer aux patients une prise en charge de leurs infections de la peau, des cheveux, et des ongles, cette unité croule sous les demandes d’examens de ces dermatomycoses. Elles sont le lot quotidien de plus de 15 % de la population adulte et plus de 35 % des publics âgés de plus de 70 ans.

« 4000…