Trois ans après la
disparition de Jean-Pierre
Pernaut, Nathalie Marquay tente de continuer à avancer. Le 2
mars 2022, l’ancien présentateur du JT de TF1 succombait à
un cancer du poumon, laissant un vide immense dans
la vie de sa femme. Depuis, Nathalie ne cesse de lui parler, de lui
demander conseil, et de puiser sa force dans le souvenir de leur
amour.
Dans un entretien à
nos confrères de Gala,
elle confie : « Je ne ferai jamais mon deuil je pense… C’est
impossible. » Si elle garde la tête haute, c’est grâce à ses
enfants,
Lou et Tom. « Heureusement que j’ai mes enfants parce que
sans eux, je pense que je ne serais plus là. »
Un témoignage sincère, touchant… et profondément humain.
Nathalie Marquay dans The Power
Aujourd’hui, Nathalie
Marquay surprend en intégrant The Power, l’émission de télé-réalité de W9, dont la
saison 2 démarre ce lundi 7 avril. Un projet qu’elle a accepté
malgré l’avis qu’aurait son défunt époux. « Je connais très bien
ses réponses ! », assure-t-elle. « Il n’aurait pas
aimé que je fasse The Island, déjà quand je faisais Fort
Boyard, il avait très peur pour moi. »
Elle lui parle encore
avant de prendre ses décisions, et lui aurait dit : « Je sais,
Jean-Pierre, que tu vas avoir très peur pour moi, mais tu seras là
pour me protéger s’il se passe quoi que ce soit. » Malgré la
douleur, elle avoue que cette émission lui a « fait beaucoup de
bien », et se dit même prête à recommencer.
Nathalie Marquay : « Il y
a bien longtemps que je n’écoute plus les mauvaises
langues »
Participer à une
émission de télé-réalité, ce n’est pas anodin quand on est une
ancienne Miss France et veuve d’une figure
emblématique de la télévision française.
Nathalie le sait, mais elle assume. « Je me contente de
jouer au théâtre, d’écrire mes livres, d’être animatrice à la radio
et de m’occuper de mes enfants du mieux possible »,
affirme-t-elle à Télé
Magazine.
Critiques ou pas,
elle reste droite dans ses bottes : « Il y a bien longtemps que
je n’écoute plus les mauvaises langues. » Pour
elle, The Power est
avant tout une belle aventure partagée avec sa fille, et une façon
de soutenir son association Les Bonnes Fées. Une cause, un peu d’adrénaline,
beaucoup d’amour : tout ce qu’il lui faut pour continuer
d’avancer.