Le Premier ministre belge n’en démord pas. Quatre pages d’arguments implacables, envoyées jeudi à Ursula von der Leyen ferment la porte à la saisine des avoirs gelés russes pour financer l’UkraineBart De Wever vient de torpiller, pour de bon, le « prêt de réparation » que le chancelier Merz et la Commission européenne défendaient ardemment pour financer l’effort de guerre de Kiev pour les deux prochaines années. Dans cette lettre incendiaire, le dirigeant nationaliste flamand dresse un réquisitoire sans appel contre un projet qu’il juge « fondamentalement erroné ».

La missive glace les responsables européens mais ne les surprend pas tant que ça, tant les réticences du dirigeant Flamand sont connues. Depuis le dernier Conseil européen, Bart De Wever multiplie les avertissements. En vain…

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