Après des premiers mois mouvementés consacrés à la diplomatie et à la sécurité, le chancelier Merz a promis de se recentrer sur l’économie du pays, qui connaît sa sixième année de stagnation et sur son modèle social, qui engloutit près d’un tiers du PIB. Le comité des sages, cinq économistes indépendants censés éclairer l’exécutif fédéral, estime que la croissance sera limitée l’an prochain à 0,9 %, inférieure à celle anticipée par le gouvernement (+ 1,3 %).