Il dit toujours qu’il n’est pas photographe. « Je suis passionné », corrige-t-il. À 6 h du matin, quand Amboise dort encore et que la Loire donne l’impression de fumer sous la brume, Jean-Marie Millasseau est déjà dehors, un appareil en bandoulière. « C’est une heure où il y a des choses que je n’ai pas l’habitude de voir », expose-t-il. Il traque les instants minuscules, les lumières qui n’appartienne…

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