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A 64 ans, Florent Pagny est un artiste accompli. C’est à lui que l’on doit bien des grands tubes de la chanson française, à l’instar de Savoir aimer ou encore Ma liberté de penser. Ce samedi 29 novembre 2025, un bel hommage est rendu au chanteur : France 2 diffuse dès 21h10 l’émission Florent Pagny fait son Taratata. A la Seine Musicale, plusieurs artistes reprennent ainsi ses classiques – et il y en a beaucoup. Mais ce n’est pas tout. Avec Nagui, l’époux d’Azucena, mère de ses deux enfants, célèbre son nouvel album, Grandeur nature. Pour tourner ce programme, Florent Pagny, installé en Patagonie, a donc fait son retour à Paris, lui qui vient de s’offrir une nouvelle demeure en France.
Comme l’indiquaient en mars dernier nos confrères d’Ici Bourgogne, Florent Pagny s’est acheté une demeure du XIe siècle. Il s’agit plus précisément de la Ferme du Fossé, un domaine classé monument historique et situé à Echevannes, un village de 87 habitants en Côte-d’or. Il s’agit d’une maison d’exception dans laquelle il entend bien couler des jours heureux avec sa chère et tendre Azucena ainsi que leurs enfants Inca né en 1996 et Aël née en 1999. « C’est un bien avec un pont-levis, des douves, avec toute une histoire« , indique à la radio locale le maire de la commune, Michel Boirin. Et de s’enthousiasmer de l’arrivée de la star de la musique dans sa commune : « Florent Pagny va l’entretenir, la faire revivre donc pour nous et pour la Ferme du Fossé c’est un bonheur. » Ce qui est attendu dépasse même le simple entretien puisque l’ancien coach de The Voice a obtenu un permis de construire pour des travaux de rénovation.
Florent Pagny a quitté la Patagonie pour la Bourgogne, un retour aux sources à 64 ans
En septembre dernier, auprès de nos confrères du Parisien, Florent Pagny, qui est toujours suivi par les médecins en France après son cancer du poumon, se livrait sur son quotidien. Il révélait ainsi avoir élu domicile en Bourgogne, dans sa ferme : « Je suis revenu parce que mes exils compliquaient beaucoup les choses. Mon activité est en France. Tout ce que je pouvais faire et produire était franco-français. » Un nouveau départ qu’il vit comme « une espèce de retour aux sources après la soixantaine », lui qui est originaire de la région. D’ailleurs, c’est lors d’une visite à son ami Kad Merad qu’il s’est rendu compte de son attachement au lieu : « Je me suis aperçu que mon grand-père paternel, que je n’ai pas connu, est enterré à 3 km de là. J’ai eu envie de me rapprocher de mes racines, et j’ai craqué […]. Mais je ne fais qu’y passer. J’adore cette vie un peu bohème chic, je me balade, n’accumule rien, je m’amuse, j’en profite comme jamais. » Un retour en Patagonie semble donc prévu pour plus tard.