Par

Gabriel Kenedi

Publié le

30 nov. 2025 à 9h12

Voilà un petit nouveau qui a le don de se faire remarquer ! Alors que le Gault & Millau a sorti récemment son guide, millésime 2026, un restaurant fait une entrée fracassante dans le « Guide Jaune » et se place déjà comme l’un des restaurants de référence de l’agglomération toulousaine, selon le Guide Jaune : la Maison Pellestor-Veyrier, à Colomiers. Au total, neuf restaurants du département font leur entrée au Gault et Millau. On fait le point sur les restaurants qui tirent leur épingle du jeu à Toulouse et en Haute-Garonne

Michel Sarran toujours au top 
Michel Sarran au casino Partouche de Pornic.
Michel Sarran conserve ses 4 toques au Gault & Millau. (©Hervé PINSON/Actu.fr)

Toujours au top, Michel Sarran reste selon le Gault & Millau le restaurant de référence en Haute-Garonne. Le chef étoilé (une étoile au Guide Michelin) obtient 4 toques (table de prestige) et un joli 17/20, comme l’an passé. 

La Maison Pellestor déjà très haut
Quentin Pellestor-Veyrier et sa compagne Camille Hubert.
Quentin Pellestor-Veyrier et sa compagne Camille Hubert. (©agenceverri)

Derrière Michel Sarran, on retrouve cinq restaurants distingués de trois toques (tables remarquables), d’après le Gault & Millau. 

  • En Marge (Franck Renimel, une étoile au Michelin), à Aureville : 16/20
  • Maison Pellestor-Veyrier (Quentin Pellestor-Veyrier), à Colomiers : 16/20
  • Le Py-R (Pierre Lambinon, deux étoiles au Michelin) : 15,5/20 (+0,5 par rapport à l’an passé)
  • L’Aparté (Jérémy Morin, une étoile au Michelin), à Montrabé : 15/20
  • En Pleine Nature (Sylvain Joffre, une étoile au Michelin), à Quint-Fonsegrives : 15/20

Ouvert depuis un an, la Maison Pellestor-Veyrier fait donc une entrée remarquable dans le guide jaune avec un 16/20 particulièrement prometteur. Une jolie récompense pour le chef Quentin Pellestor-Veyrier, âgé de 32 ans et passé notamment chez Gilles Goujon, et qui a repris l’ancien restaurant du chef Yannick Delpech, l’Amphitryon, à Colomiers… et qui peut légitimement espérer décrocher une étoile au Guide Michelin en mars prochain. 

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« Dans les assiettes, pas de chichi, rien d’inutile, juste des produits locaux parfaitement sourcés, et du goût, encore du goût, grâce à de brillantes idées et une technique sans faille », assure le Gault & Millau. 

Les autres restaurants distingués 
Yannick Delpech, qui fut le plus jeune étoilé de France, fait son grand retour dans le club très fermé du Guide Michelin !
Yannick Delpech, qui fut le plus jeune étoilé de France, fait son grand retour dans le club très fermé du Guide Michelin ! (©Lucie Fraisse / Actu Toulouse)

Parmi les restaurants auréolés de deux toques (tables de chef), on retrouve de nombreux restaurants. Dans cette catégorie, Yannick Delpech se distingue avec un 14,5/20, tout comme Hortus et le Cénacle. Signalons aussi l’entrée de Ciel à Table, le restaurant de Cugnaux. 

  • Acte 2 (Yannick Delpech, une étoile au Michelin), à Toulouse : 14,5/20
  • Hortùs (Clément Lessoud), à Toulouse : 14/20. 
  • La Table des Merville (Thierry Merville), à Castanet-Tolosan : 14/20
  • Le Cénacle – La Cour des Consuls (Maxime Canal), à Toulouse : 14/20
  • L’Auberge de La Forge (Théo Fernandez, une étoile au Michelin), à Lavalette : 13,5/20 (+0,5 par rapport à l’an passé)
  • Les Jardins de l’Opéra (Stéphane Tournié, une étoile au Michelin), à Toulouse : 13,5/20
  • Ciel à Table (Adrien Cresci), à Cugnaux : 13,5/20
  • Hito (Hitoshi Araki), à Toulouse : 13,5/20 (+0,5 par rapport à l’an passé)
  • L’Auberge du Poids Public (Claude Taffarello), à Saint-Felix-de-Lauragais : 13/20 (-1,5 par rapport à l’an passé)
  • Cartouches (Nicolas Brousse), à Toulouse : 13,5/20 (+0,5 par rapport à l’an passé)
  • El Almacen de Cirès (Juan De Benedetto), à Cirès : 13,5/20 
  • La Table de Laurent (Laurent Prat), à Ramonville-Saint-Agne : 13,5/20 (+0,5)
  • Ô Saveurs (David Biasibetti), à Rouffiac-Tolosan : 13,5/20
  • Cartouches (Nicolas Brousse), à Toulouse : 13,5/20
  • L’Alto – Château de la Garrigue (Mourad Ouabdeslam) à Villemur-sur-Tarn : 13/20 (-1 par rapport à l’an passé)
  • Solides (Simon Carlier), à Toulouse : 13,5/20 (-0,5)
  • Casa Bomba (Fabrice Mignot), à Toulouse : 13/20 (-0,5)
  • Le Mas Dardagna (Fabrice Joffre), à Toulouse : 13/20
  • Les Planeurs (Katsu Nakanishi), à Toulouse : 13/20 (-0,5)
  • Gram’s (Laura Pelou), à Toulouse : 13/20
  • L’Air de Famille (Georges Camuzet), à Toulouse : 13/20 
  • Le Genty Magre (Romain Brard), à Toulouse : 13/20 
  • Le Mas de Dardagna (Fabrice Joffre), à Toulouse : 13/20
  • Le Saint-Sauvage (Valérie Cohen et Sébastien Luccioni), à Toulouse : 13/20
  • Ma Biche sur le Toit (Paul Ambombi), à Toulouse) : 13/20
  • L’Hibiscus – Hôtel du Barry (Jérémy Lasserre) à Sauveterre-de-Comminges : 13/20
  • M by Mo Bachir (Mo Bachir), à Toulouse : 13/20
  • Au Pois Gourmand (Ugo Piazotta), à Toulouse : 13/20

Des nouveaux entrants
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Cédric et Mayumi, propriétaires de Maison Chaya.(©Maréva Laville / Actu Toulouse)

Enfin, parmi les nombreux restaurants distingués d’une toque (tables gourmandes), le peloton de tête est constitué des restaurants Agapes (Arnaud Darbas), Balthazar (Philippe Abirached), Chez Emile (Christophe Fasan), Meurette (Jean-Baptiste Mazaud), Le Bibent, Cécile, La Pente Douce (Hamid Miss), Sixty-Two (Stéphane Mazières), Vivants (Paul Bidard) et Combustible (Virginie Guitard), qui obtiennent tous 12,5/20. 

Et pami les nouveaux restaurants, en plus de la Maison Pellestor-Veyrier, huit autres restaurants font leur entrée dans le Guide 2026. 

  • Les Volets Rouges (12/20)
  •  Maison Chaya (12/20)
  • Osmoz (12/20)
  • Chéri Guapo (11,5/20)
  • Blanquette (11/20)
  • L’Atrium – Plaza Hôtel Capitole (11/20)
  • La Brasserie des Consuls (11/20)
  • Bistrot August (sélectionné)

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