CRITIQUE – Le Louvre a réuni une centaine de tableaux du maître néoclassique, dont les œuvres ont toujours fasciné des générations entières dans les livres d’histoire. Mais les connaît-on si bien ?
Qui n’a jamais vu dans un manuel scolaire ou un livre d’histoire des peintures de Jacques-Louis David (1748-1825) ? Du Serment des Horaces à Bonapartefranchissant le Grand-Saint-Bernard, en passant par Le Serment du Jeu de paume et La Mort de Marat , sans oublier son portrait de Juliette Récamier, son art aura traversé les époques et marqué les esprits. Mais ce que le grand public ignore, bien souvent, c’est la signification profonde de chacune d’elles et le rôle exact joué par leur auteur au moment de leur réalisation. Car le natif de Paris n’était pas qu’un génial artiste. Il était aussi un homme engagé. Et notamment durant la Révolution, où il occupa de hautes fonctions au côté de Robespierre avant de connaître l’exil à la chute de Napoléon et de s’éteindre au cours de son exil bruxellois…
Tout au long d’un parcours riche d’une centaine de tableaux, réunis par les commissaires Sébastien Allard et Côme Fabre, le Louvre fait toute la lumière sur son œuvre et son existence… quelque…
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