Après la confirmation vendredi d’un cas de dermatose nodulaire dans un troupeau de Pouilley-Français, (près de Besançon), pourtant vacciné depuis plus d’un mois, 83 bovins dont un veau né dans la nuit de dimanche à lundi, doivent être abattus ce mardi.
Soutenu par plusieurs agriculteurs et collectifs agricoles – entre 250 et 300 personnes -, l’éleveur s’oppose à l’abattage et souhaite que son exploitation serve de « ferme test » afin de prouver qu’un traitement ciblé pourrait suffire dans un troupeau immunisé.
Ce contenu est bloqué car vous n’avez pas accepté les cookies et autres traceurs.
En cliquant sur « J’accepte », les cookies et autres traceurs seront déposés et vous pourrez visualiser les contenus (plus d’informations).
En cliquant sur « J’accepte tous les cookies », vous autorisez des dépôts de cookies et autres traceurs pour le stockage de vos données sur nos sites et applications à des fins de personnalisation et de ciblage publicitaire.
J’accepte
J’accepte tous les cookies
Les gendarmes ont dû faire usage de gaz lacrymogènes autour de l’étable, ce mardi, pour évacuer des manifestants. Deux personnes ont été interpellées pour « violence avec arme » et refus d’obtempérer par conducteur d’un véhicule.
Les organisations agricoles ont saisi le tribunal administratif de Besançon qui doit trancher en référé sur un recours contre l’abattage du troupeau.
>> Suivre le direct de L’Est Républicain