Depuis son sacre,
Angélique Angarni-Filopon fait face à un véritable déluge de
critiques et de cyberharcèlement
. Élue Miss France 2025 et
première trentenaire à remporter ce titre, elle
semblait promise à un règne historique. Mais la
jeune femme a rapidement été confrontée aux
aspects les plus durs de la médiatisation. Elle a
subi des attaques virulentes sur les réseaux
sociaux.

Pour protéger la Miss, Frédéric Gilbert,
président de la Société Miss France, lui a demandé de se faire plus
discrète dans les médias. Dans une interview
accordée à Europe 1, il a expliqué que cette mesure visait à la
préserver face à l’intensité et à la
violence des critiques, qu’elles soient
racistes, âgistes ou liées à son hyper-exposition
médiatique.

Une année de règne marquée par la controverse pour Angélique
Angarni-Filopon

Le règne d’Angélique Angarni-Filopon a été ponctué de moments
délicats. L’hôtesse de l’air a notamment été
critiquée après deux refus de prise de position
publique. D’abord sur l’affaire des viols de
Mazan
, puis concernant
une question sur Charlie Hebdo
. Le 8 janvier dernier, au
lendemain de la commémoration des dix ans de l’attentat contre le
journal, elle avait choisi de ne pas dire si elle était
‘‘Charlie’’. Cette réponse a été jugée
insuffisante par certains internautes, déclenchant
un flot de cyberharcèlement.

Face à cette hostilité, l’organisation Miss
France a rapidement mis en place une stratégie
pour la protéger. Angélique est ainsi devenue plus
rare dans les médias. ‘‘À 0h44, vous en avez
une qui devient Miss France, qui voit sa
vie basculer et qui tombe dans le
tourbillon médiatique.’’ a-t-il rappelé sur
Europe 1. Une hyper-exposition brutale qui
transforme son règne en véritable course
d’endurance.

Un nouveau défi contre une précaution
du président de la société Miss France

Malgré ces difficultés, Angélique
Angarni-Filopon prépare déjà sa transition vers un
autre univers médiatique. D’après Le Parisien,
Angélique Angarni-Filopon va participer à Danse avec les
stars
 2026. Elle devient la dixième
Miss France à participer à l’émission. Un passage presque devenu
rituel pour les reines de beauté qui permet de se
reconnecter au public sous un angle plus léger et
joyeux.
Mais cela ne suit pas la
précaution du président de la société de Miss
France.

« Clairement oui, au bout d’un moment il faut la
protéger
. » a reconnu le président de la société Miss
France lorsque le journaliste Thomas Isle lui a demandé si on lui
avait demandé de réduire ses apparitions. Cette
phrase illustre bien la précaution nécessaire pour
préserver la santé mentale. Pas facile pour la
jeune femme propulsée sous les projecteurs du jour au
lendemain.