Depuis toujours, Clara Luciani chine comme d’autres respirent :
naturellement, instinctivement, avec une curiosité presque tendre
pour les objets qui ont traversé le temps. Des premiers
vide-greniers partagés avec son père aux vinyles dénichés au hasard
d’une brocante, la seconde main fait partie de son histoire
personnelle autant que de son esthétique. Pour
Leboncoin, la chanteuse ouvre aujourd’hui son
univers intime en dévoilant une sélection d’objets rares, touchants
et profondément personnels, un « inventaire de cœur » dont
l’intégralité des ventes sera reversée à la Maison des
femmes Marseille Provence, association dont elle est
marraine.
Clara Luciani : une chineuse dans l’âme depuis l’enfance
Chez Clara Luciani, l’amour du vintage n’est
ni une tendance, ni un effet de mode. C’est un
héritage intime, presque viscéral. Toute petite
déjà, elle écumait les vide-greniers aux côtés de
son père, les yeux rivés sur des bacs de disques, des piles de
vaisselle ancienne ou des bibelots mystérieux qui
semblaient avoir déjà vécu mille histoires. « J’achète du vintage
depuis que j’ai 11 ans », confie-t-elle. Une époque où la seconde
main n’avait rien de glamour : c’était simplement un terrain de
jeu, un laboratoire de découvertes. C’est là qu’elle met la main
sur son premier petit lecteur de vinyles, puis sur
les disques qui façonneront sa culture musicale et, plus tard, son
univers artistique.
Parmi ses trésors les plus précieux :
une édition japonaise du 45-tours de Hey Jude des
Beatles. Une trouvaille modeste mais symbolique, qui
encapsule ses premières émotions de mélomane. « Les objets vivent
plus longtemps que les gens », disait
Philippe Katerine, une phrase que Clara reprend souvent, tant
elle résume la tendresse qu’elle porte aux choses qui traversent le
temps. Son goût se dessine dans un mélange très
personnel : la douceur rose des univers de Jacques
Demy, la fantaisie de Wes Anderson, la poésie de Sofia Coppola, la
grâce de Michel Legrand et la mémoire de ses grands-parents. Une
constellation d’influences qui infuse aussi sa manière de
chiner.
Une sélection Leboncoin fidèle à l »univers de Clara Luciani :
rare, éclectique et profondément personnelle
Pour
Leboncoin, Clara n’a pas imaginé une collection fabriquée pour
l’occasion. Elle a fait mieux, et surtout plus sincère : ouvrir son
« tiroir à trouvailles ». Ses alertes, ses favoris, ses coups
de cœur. Résultat : une vingtaine d’objets rares,
touchants et très personnels. On y trouve : une
héliographie hypnotique de Vasarely, une veste aviateur oversize
Redskins au charme patiné, un réveil aux accents Wes Anderson, une
lampe d’atelier moderniste, un buste inspiré de l’Antiquité, ou
encore une dinette sixties pleine de naïveté.
Une vraie malle aux trésors qui ressemble à un
inventaire à la Prévert. « Le fil conducteur, c’est moi »,
confie-t-elle. Chacun de ces objets raconte quelque chose : un
souvenir, une fascination esthétique, un clin d’œil à un film, un
son, une époque. Clara Luciani chine comme d’autres écrivent un
journal intime. Les formes, les matières, les
couleurs : tout a pour elle une dimension narrative.
Clara Luciani x Leboncoin : une
opération solidaire et engagée
Ce dispositif imaginé avec
Leboncoin va bien au-delà d’une simple mise en lumière. La
plateforme n’a pas demandé à Clara Luciani de créer des objets,
mais de sélectionner des pièces déjà existantes :
une démarche à faible empreinte environnementale, parfaitement
alignée avec sa vision d’une consommation plus douce, plus
consciente, plus respectueuse.
Surtout, l’intégralité des ventes sera reversée à La
Maison des femmes Marseille Provence, structure
d’accompagnement pour les femmes victimes de violences, dont Clara
Luciani est la marraine. Une cause qu’elle
soutient avec détermination. Ainsi, derrière un réveil
Courrèges, une assiette illustrée par
Cocteau ou un vase moderniste, se cache un
véritable geste de solidarité.