Depuis plusieurs semaines, Pékin Express fait le bonheur des
nombreux fans de l’émission. Le 7 novembre dernier, Stéphane
Rotenberg a fait son retour avec une toute nouvelle saison baptisée
La route des glaces. Et comme à chaque édition, le
programme répond aux attentes du public avec du rebondissement et
des moments riches en émotions. Mais ce qui fait la particularité
de cette saison, c’est notamment le climat. En effet, le programme
a été tourné dans le froid sibérien, au Kazakhstan. Des conditions
météorologiques qui ont naturellement ajouté de la difficulté à
l’aventure. Que ce soit pour les candidats ou encore pour les
équipes de tournage.
Un tournage particulièrement difficile
Les conditions de cette édition de Pékin Express font de cette
dernière une aventure exceptionnelle et inédite. En effet, ce n’est
pas tous les jours que les candidats doivent faire face au froid.
Et ça, c »est peu dire. Pour cette saison, les candidats ont dû se
battre pour aller le plus loin dans
l’aventure sous des températures glaciales, précisément -35°C.
Un climat qui a également posé des problèmes aux équipes de
tournage.
Heureusement, ces derniers sont habitués à des situations
difficiles. D’ailleurs, cette édition de Pékin Express n’était pas
la plus compliquée pour Stéphane Rotenberg et les équipes. Lors de
cette aventure, ces derniers ont seulement dû affronter le climat.
Dans des éditions précédentes, le danger était tel que la
production de Pékin Express était obligée de prendre des
mesures.
Stéphane Rotenberg : Pékin Express met l’accent sur la
protection des candidats
Les tournages de Pékin Express ne sont pas toujours une partie
de plaisir.
Stéphane Rotenberg et les équipes de tournage sont souvent
confrontés à des situations compliquées. Car, leur séjour dans
certains pays ne se passe pas souvent comme prévu. En effet,
certains pays se sont révélés particulièrement hostiles. Pour dire
à quel point les choses étaient tendues, il faut savoir que
Stéphane Rotenberg et les candidats avaient même été
contraints de porter des gilets pare-balles avec des
porte-flingues non loin d’eux.
“On est dans des pays où parfois, il y a de
l’insécurité (…) Quand tu vas dans certains pays en
Afrique, en Amérique latine, dans ces cas-là, on met une
sécurité un peu distante”, avait-il confié lors de son
passage sur le plateau de TBT9. Dans ces situations, la production
fait appel à des gardes du corps équipés de “gilets pare-balles et
flingues”. Heureusement, rien de grave ne s’est jamais produit
durant le tournage de Pékin Express. Toutefois, l’animateur a
révélé que certains candidats ont pu “se faire braquer”
par les hôtes qui les recevaient. “Ils se sont fait
braquer leurs sacs dans des maisons. C’est arrivé une ou
deux fois, à Cuba”, révélait-il.
“Le bus manquait de tomber dans le
ravin”
Pour éviter tout désastre, Pékin Express préfère renforcer la
sécurité. D’ailleurs, Stéphane Rotenberg s’est souvenu d’une
situation compliquée. Lors du tournage de la première saison all
stars en 2010, les candidats avaient dû faire face à un problème en
Inde. Une édition à laquelle avait participé Isabelle Morini-Bosc.
“Il y avait une manifestation, un barrage sur la
route. Les candidats regardaient (…) Le responsable a vu
que le bus dans lequel étaient les candidats allait être agressé.
Il est rentré dans le champ, il a pris les candidats par le
sac-à-dos, il les a amenés hors-champ. Et le bus a été
brûlé…”, révélait-il.
Une expérience que la chroniqueuse de Cyril Hanouna n’a
absolument pas oubliée. En plus, ce n’était pas la seule
mésaventure vécue par les candidats de cette saison-là.
“Le bus manquait de tomber dans le ravin. On
nous a demandé de tous nous pencher de l’autre côté, pour éviter
qu’il bascule”, avait-elle raconté. Des incidents qui ont
poussé Pékin Express à renforcer la sécurité pour le bien des
candidats.