Le corps sans vie d’une adolescente a été découvert jeudi matin dans sa chambre au lycée Dumont-d’Urville. Les autorités privilégient l’hypothèse d’un suicide, tandis que la communauté éducative est sous le choc.

Les faits se sont déroulés dans l’établissement scolaire toulonnais en début de journée. Une agente d’entretien a trouvé la jeune fille sans vie peu après sept heures. Les secours, alertés sans délai, n’ont pu que constater son décès. Les premiers éléments recueillis sur place évoquent une mort par pendaison.

Une enquête a été ouverte afin de déterminer les circonstances exactes de ce décès. Si la piste d’un acte volontaire est envisagée, les investigations se poursuivent pour éclaircir la séquence des événements.

Au sein du lycée, l’émotion est profonde. Plusieurs élèves, visiblement affectés, ont été aperçus en larmes. Pour faire face à la détresse, un dispositif de soutien psychologique a été immédiatement activé. Une cellule d’écoute a été spécifiquement déployée pour les internes, plus proches de la défunte, tandis qu’un accompagnement est proposé à l’ensemble de la communauté scolaire et aux personnels.

Sur les plateformes numériques qu’elle fréquentait, le profil de l’adolescente laissait transparaître une certaine solitude, évoquée à plusieurs reprises. Ces publications contrastaient avec d’autres contenus, plus légers, consacrés à ses centres d’intérêt artistiques comme le dessin ou la musique.