Nous avons choisi de collecter des fonds en faveur de l’association d’aide internationale Bissae, qui vient, entre autres, en aide à la scolarisation des enfants au Bénin (Afrique de l’Ouest) , expliquent Alyah Dubosq, Fiona Péron, Zoé Piron, étudiantes en BTS au campus Monod, au Rheu.

1 320 € remis à l’association Bissae

 Nous avons mené trois actions durant trois journées », résument les étudiantes.  Lors des portes ouvertes du lycée, le 25 janvier et 15 mars 2025, nous avons vendu des tablettes de chocolat du commerce équitable et ainsi collecté 622 €. 

Les jeunes étudiantes adressent d’ailleurs un remerciement à Delphine Piron, infirmière à Plumaudan, « qui a vendu les dernières tablettes à ses patients ». Leur seconde action, un « repas solidaire », a mobilisé tout le lycée. « Négocié avec l’établissement, le repas du 20 mars était sans viande, tout en restant équilibré. Il coûtait moins cher, mais les participants ont accepté de payer le tarif habituel. Grâce à cela, nous avons pu recueillir 698 € », se réjouissent Alyah Dubosq, Fiona Péron et Zoé Piron.

Elles sont ravies d’avoir pu collecter de cette manière la somme totale de 1 320 € qu’elles ont remis à l’association Bissae.

Soutenir la scolarité de jeunes Béninois

« Le projet de cette association nous a tout de suite séduites », confient les trois étudiantes. Bissae agit pour des projets locaux au Bénin. « Les actions sont toujours adaptées aux besoins sur place », précise Sylvie Varin, membre de l’association, qui a accompagné les jeunes dans leur démarche. « Bissae a notamment participé à l’ouverture de deux écoles, à la construction de classes et à l’installation de points d’eau potable », se réjouit cette bénévole engagée. La scolarisation reste au cœur des missions de l’association. « Bissae prend en charge l’intégralité des frais de scolarité pour environ 60 élèves, en leur fournissant également manuels et fournitures, pour un coût de 38 € par élève », expliquent les étudiantes, très investies dans ce projet solidaire. L’association finance aussi les salaires de deux employés, qui veillent à ce que chaque enfant bénéficie d’au moins un repas par jour.