Résumé en 20 secondes

En savoir plus sur ce type de contenu

Ce résumé peut avoir été écrit avec l’assistance d’une IA générative. En savoir plus

Abonnez-vous pour accéder au résumé en 20 secondes.

«Il faut maintenir l’effort de guerre en faveur de l’Ukraine et accroître la pression sur l’économie russe!» Vendredi, le président français Emmanuel Macron a répété son mantra depuis la Chine, alors que la méfiance vis-à-vis du «plan de paix américain» grandit. Pression sur l’économie russe? L’immobilisation des avoirs russes en fait partie. Et l’usage de ces fonds continue de faire l’objet de vives discussions au sein de l’UE. Ou plutôt, disons-le plus clairement, le premier ministre belge, Bart De Wever, provoque des crispations alors que les Européens espèrent prendre une décision lors du prochain sommet des 27 chefs d’Etat et de gouvernement de l’UE, le 18 décembre à Bruxelles.

Au cœur des tensions: la proposition de la Commission européenne au sujet des fonds russes immobilisés au sein de l’UE depuis le début de la guerre en Ukraine. Vendredi, le chancelier allemand Friedrich Merz a annulé un voyage prévu en Norvège pour filer à Bruxelles et s’entretenir dans la soirée avec Bart De Wever et la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, à ce sujet.