Vous avez pu découvrir depuis le 18 octobre 2025 le nouveau format vidéo de Presse Océan. Ça s’appelle « PO tape la discut’ ». L’idée est de dialoguer pendant six minutes avec des personnes qui nous inspirent et qui vivent en Loire-Atlantique.
Pour ces interviews filmées, une seule règle : le tutoiement. Journalistes et invités se tutoient. Notre objectif est de dialoguer, que les gens qui s’assoient dans notre studio, aménagé à l’intérieur de la rédaction de Nantes, aient envie de nous raconter leur vie, leurs rêves et leurs anecdotes. Qu’ils nous partagent ce qui les a inspirés et ce qui les motive au quotidien.
Tous les épisodes sont à retrouver jusqu’à la fin d’année sur nos différents réseaux sociaux (Instagram, Facebook, TikTok, YouTube) et notre site internet.
Eric Guiho côtoie dépouilles d’animaux, plantes et restes humains
Presse Océan tape la discut’ avec Eric Guiho. Responsable des collections des sciences et de la vie du Muséum de Nantes, l’amoureux de la nature partage avec Presse Océan son « étrange » métier-passion qui lui fait côtoyer les dépouilles d’animaux, des plantes et des restes humains.
? L’interview complète à retrouver par ici.
Sanas rappe le quotidien de son quartier de Nantes, ce qu’il voit et ce qu’il vit
Presse Océan tape la discut’ avec Sanas. Le rappeur de Bellevue, à Nantes, raconte dans ses sons le quotidien de son quartier marqué par les trafics, la présence policière et parfois la violence, mais aussi le partage et la mixité.
? L’interview complète à retrouver par ici.
L’entreprise de ménage de Cécile Gandon replace l’humain au centre
Presse Océan tape la discut’ avec Cécile Gandon. La quadragénaire, ancienne du groupe de maisons de retraite et de cliniques Orpea rebaptisé après un scandale de maltraitance et de dysfonctionnement, a lancé sa propre entreprise de ménage. Elle raconte l’importance du bien-être et de l’humain au travail.
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Falmarès partage une œuvre inédite
Presse Océan tape la discut’ avec Falmarès. Le poète originaire de Guinée est arrivé à Nantes en 2016 après un long périple à travers la Méditerranée. C’est durant son exil que l’envie d’écrire lui est venue pour dépasser les « traumatismes et les violences » dont il a été témoin.
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