Sigourney Weaver est considérée
comme l’une des plus grandes actrices de sa génération. Elle s’est
fait connaître très jeune, avec le rôle de l’officier Ellen Ripley
dans Alien, en 1979. Elle
enchaîne ensuite les rôles marquants, dans des domaines très
différents, tels que la science-fiction, la comédie musicale ou
encore le drame.

À 76 ans, elle est loin d’avoir
dit son dernier mot. La preuve : elle est à l’affiche du
dernier Avatar,

dont la sortie est prévue le 17 décembre en France. Sigourney
Weaver est une actrice d’autant plus marquante qu’elle n’a jamais
hésité à prendre position sur des questions politiques, comme lors
de cette interview donnée en 2000.

Sigourney Weaver à l’affiche d’Avatar : de feu et de cendres

C’est un des films les plus
attendus de cette fin d’année (et peut-être de 2025) : le troisième
volet d’Avatar, qui
s’intitule Avatar : de feu et
de cendres. Le film promet un univers Pandora plus sombre : la
bande-annonce met en scène un nouveau clan Na’vi, les
Ash People, associés à
l’élément du feu, et suggère des batailles épiques. Le 5 décembre
2025,
une partie du casting
et de l’équipe était présente à la Seine
Musicale de Paris, pour une avant-première européenne très attendue
par les fans de la saga.

Parmi les acteurs présents se
trouvait donc Sigourney Weaver, qui interprète Kiri, un des
personnages principaux. Il s’agit de la fille adoptive de Jake
Sully et Neytiri, née mystérieusement de l’Avatar de la chercheuse
Grace Augustine.

Sigourney Weaver : son
avis sur la peine de mort

Parmi
ses autres rôles marquants
se trouve celui dans le film
Une carte du monde de
Scott Elliott, dans lequel elle incarne une femme dont la vie
bascule soudainement après la mort d’un enfant dont elle avait la
garde.

En 2000, elle est venue dans
le JT de 20h de Claude Sérillon, qui l’a interrogée sur sa position
concernant la peine de mort, qui était déjà un sujet brûlant :
« Je ne suis pas en faveur de
la peine de mort (…) Je pense que la peine de mort est absurde,
mais malheureusement il y a beaucoup de gens qui sont en
faveur
». Comme on peut le lire sur Europe 1,
selon Amnesty International, en 2025, 49 % des Américains se
disaient en faveur de la peine de mort et 42 % s’y opposaient.