Le sacre d’Hinaupoko Devèze, Miss France 2026, passerait presque inaperçu face au feuilleton de la destitution des deux Miss régionales accusées d’avoir tenu des propos injurieux. Frédéric Gilbert, le président de la société Miss France, le déplore dans une longue interview accordée au Parisien, mardi 9 décembre 2025.

Dénonçant les propos « quand même assez violents » de Miss Aquitaine et de Miss Provence – qui, pour rappel, avaient, dans une vidéo, qualifié de « grosses p*tes » les concurrentes arrivées en tête du concours de beauté –, Frédéric Gilbert ne décolère pas : « Qu’on soit déçue [de ne pas être dans le top 12], c’est une chose, mais de là à vouloir insulter tout le monde, je ne comprends pas ! »

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J’accepteUne mise en garde vaine ?

Le président de la société Miss France confie ne pas comprendre l’attitude des Miss destituées, « d’autant que cette année, on a particulièrement mis l’accent sur le respect, la bienveillance », précise-t-il, ajoutant que les candidates avaient été « briefées » sur les réseaux sociaux, « qu’il fallait faire attention à ce qu’on y mettait ».

Notre dossier « Miss France »

L’ancienne directrice générale de la société Miss France Sylvie Tellier a également réagi à ce « scandale » chez Gala, justifiant la décision de destituer les deux Miss « parce que le respect est une valeur fondamentale » et que « dans un concours comme dans le sport, il y a un cadre, une éthique, un esprit de fair-play à respecter ».