Après plus de deux ans de lutte contre un cancer du pancréas,
l’homme d’affaires et producteur Gérard Kadoche est décédé
à l’âge de 61 ans
.

Partageant sa vie avec Véronika Loubry, mère de
Thylane et Ayrton
issus de son histoire avec l’ancien
footballeur Patrick Blondeau, il laisse derrière lui une famille
bouleversée. Véronika Loubry a annoncé la nouvelle ce jeudi 11
décembre 2025 sur Instagram.

Gérard Kadoche s’éteint après un
long combat

Elle commence son message par :
« L’amour de ma vie s’en est allé, après deux ans et 9
mois d’un combat
que personne ne devrait affronter. Il est
parti cette nuit laissant derrière lui un silence immense, mais
aussi la trace indélébile de son courage. Pendant
son combat mon guerrier a tout donné
: sa force, sa dignité,
son humour même quand la douleur gagnait du terrain ».

Elle poursuit : « Il a tenu,
encore et encore, par amour, par instinct, par volonté. Moi je le
croyais invincible mon guerrier, il a décidé de baisser les armes
et ma vie ne sera plus jamais la même. Chaque jour, malgré
la fatigue, malgré la douleur, malgré les 56 chimios
, il
trouvait encore le moyen de sourire, de me rassurer, de me
conseiller et de m’aimer comme au premier jour ».

Véronika Loubry : un soutien indéfectible jusqu’au bout

Véronika Loubry a accompagné
Gérard Kadoche
jusqu’au dernier souffle, comme l’avaient
témoigné ses proches et ses enfants. Sa fille aînée écrivait déjà
en août : « Il n’est pas seul. Il y a cette femme, Véronika
Loubry, ma belle-mère. Sa force. Son calme. Son ancre. Elle a été
là à chaque étape. Le soutenant. L’aimant. Elle a fait plus que ce
que l’on peut imaginer. Elle lui a sauvé la vie. Je lui suis
profondément, infiniment reconnaissant« .

Véronika avait également partagé sur Instagram
le quotidien éprouvant du producteur : « Chimio numéro 42. Cela
fait maintenant deux ans et demi que tu vis au rythme de la
chimiothérapie. Deux ans et demi de combats, de rendez-vous
médicaux, d’espoirs et parfois de grosses déceptions
. Ce
fameux ascenseur émotionnel. Nous connaissons trop bien l’odeur de
l’hôpital, les lumières blanches de cette salle de
traitement ».