Il y a du combat de David contre Goliath dans la procédure initiée par le groupe Hugo Boss contre boès, marque toute neuve de création artisanale en joaillerie. Boès signifie « les bois » en patois ardéchois et correspond à des bijoux à l’inspiration naturaliste. Quel rapport avec Boss (le patron) et sa collection de bijoux ?

C’est ce que l’INPI, Institut national de la propriété industrielle, a dû trancher, après avoir été alimenté par quantité d’arguments déployés de part et d’autre.

D’un côté, ceux transmis par un avocat en France du groupe international de mode basé en Allemagne, de l’autre Salomé Payan, en plein lancement de sa petite entreprise et dans l’impossibilité d’engager des frais pour sa défense.

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