Après Bétharram, après les signalements enterrés, après le plan gouvernemental lancé en urgence pour ouvrir les portes du privé sous contrat, on aurait pu imaginer un enseignement catholique en mode profil bas. Il n’en est rien. Auditionné le 2 décembre par les parlementaires, Guillaume Prévost, nouveau secrétaire général de l’enseignement catholique (SGEC), a préféré dénoncer des contrôles «abusifs» de l’Education nationale, défendre le caractère «propre» comme colonne vertébrale de l’institution et