Résumé
Souailla Mohamed exprime publiquement sa douleur et dénonce la toxicité de sa relation avec son époux, relayant des paroles poignantes sur les amours malades et la vérité finale.
Sommaire
Depuis quelques jours, le linge sale de Jimmy Mohamed et de son épouse Souailla se lave en public. La jeune femme a publié une série de stories dans lesquelles elle a pointé du doigt le comportement de son époux. « Je suis arrivée au bout du bout du rouleau. Quand vous subissez une injustice et que, derrière, la personne parle d’amour, de soutien de la femme enceinte ou de santé mentale, quand on a traversé ce que j’ai vécu, il y a de quoi craquer par ce manque de décence au vu de la situation » a déclaré la jeune femme, qui a ainsi ciblé un comportement toxique.
Tout avait démarré quelques jours plus tôt encore, avec une première story rapidement supprimée. Après une chronique de son époux sur RTL sur la santé mentale des adolescents, Souailla avait réagi à chaud et s’était emportée : « Moi je me demande comment aider une personne victime de violences psychologiques par son mari, un médecin. Qui va jusqu’à essayer de faire croire qu’elle a des hallucinations ». Elle avait ensuite posté plusieurs photos de la voiture de l’animateur du Mag de la santé sur France 5, sur lesquelles on découvre le régime alimentaire très calorique de ce dernier.
La guerre a repris de plus belle cette nuit
Visiblement, Souailla et Jimmy Mohamed n’ont pas sonné l’armistice. Ce dimanche, en pleine nuit, l’épouse revancharde a relayé une chronique de Mosimann sur France Inter. Dans celle-ci, le DJ et gagnant de la Star Academy cible les relations toxiques avec des mots forts et justes que Souailla a partagés sans mot dire. Mais le simple relai de cette chronique quelques jours après avoir accablé son mari semble dire beaucoup…
« Il y a des histoires où l’on croit encore que l’amour peut tout ; qu’il soulève, qu’il répare, qu’il redonne souffle. Qu’une présence peut suffire à renverser le destin. On s’invente des trucs complètement dingues, comme croire qu’on peut réparer quelqu’un alors qu’on n’a jamais eu les outils pour soi-même » débute Mosimann dans cette chronique dédiée aux amours malades.
Souailla Mohamed lui dit je t’aime « une dernière fois »
Le chroniqueur va ensuite plus loin en ciblant la toxicité de certaines relations : « On s’use, on s’abîme (…) Et puis un jour, la vérité tombe : simple, brutale. On ne peut pas sauver l’autre. Pas d’une addiction, pas d’une emprise, pas d’un homme qui manipule, ni d’une femme qui dévore. Pas de ces violences invisibles qui rampent (…) On ne sauve pas quelqu’un qui pour tenir debout a besoin qu’on tombe ». Des mots forts, que Souailla Mohamed a relayés, comme un « dernier je t’aime ».
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