Invité de Quelle Époque ! sur France 2, Jordan
Bardella
a vécu une séquence tendue face à Léa Salamé et
Roselyne Bachelot. Le président du Rassemblement national s’est
retrouvé au cœur d’échanges ironiques qui ont rapidement tourné à
la moquerie. Lors du jeu du « grand photocall », Léa Salamé invite
son invité à improviser des questions face à des personnalités
politiques. À la vue de
Nicolas Sarkozy
, Jordan Bardella répond : « Où est-ce qu’il
trouve toute cette énergie ? Qui est, objectivement,
increvable. »

Une question qu’il a également
posée à Donald Trump. « Où est-ce qu’il trouve toute cette
énergie aussi ? », se répète-t-il, ce qui n’a pas manqué de
provoquer quelques ricanements autour de lui. « Vous vous
répétez là, hein », glisse la présentatrice avant de souligner
« un petit manque d’imagination ».

Jordan Bardella ridiculisé par
Roselyne Bachelot

Au même moment, Roselyne
Bachelot murmure un petit « Aux secours, le cirage des pompes… ».
« Il cire les pompes à Donald Trump ? » demande Léa Salamé.
L’ancienne ministre enfonce le clou : « Bah oui, évidemment
! ». Une remarque qui a immédiatement piqué Jordan
Bardella.

« Je vous trouve
bien inélégante, madame Bachelot », s’est-il
défendu sèchement. La séquence se poursuit avec une nouvelle photo,
celle de Vladimir Poutine. Un chroniqueur répète alors « Où
trouve-t-il toute cette énergie » pour se moquer, avant que
Jordan Bardella ne change de registre et lance : « Jusqu’où
va-t-il aller ? »


qualifie des militantes féministes de « sales connes »
,
à la suite de l’interruption d’un spectacle d’Ary Abittan par
quatre d’entre elles. « Je pense que tout est malheureux dans
l’affaire. Les propos qu’elle a tenus, évidemment, sont virulents.
Et la vidéo, sauf erreur de ma part, était une vidéo privée. Donc,
je ne veux pas l’accabler« , déclare-t-il,
avant d’élargir sa réflexion sur la contestation dans les lieux
culturels.

Le président du RN conclut : « Je n’aime
pas la façon dont on perturbe des lieux de culture. Je pense que
les lieux de culture devraient être des havres de paix où les
querelles des hommes n’entrent pas. Tout est malheureux. Le fait
que
le spectacle d’Ary Abittan,
qui a bénéficié d’un non-lieu, soit
perturbé, me paraît être un sujet. »