Une villa spacieuse dans les Yvelines, un fils à la maison, une
fille comédienne et un berger allemand en faïence : bienvenue chez
Josiane Balasko. L’icône du Splendid s’est offert un coin de
paradis bien à elle, loin des caméras mais rempli d’histoires, de
souvenirs… et d’objets inattendus. Installée à
Jouy-en-Josas, une charmante commune des
Yvelines située non loin de
Versailles, Josiane Balasko y
coule des jours paisibles dans une maison de plus de 250
, acquise grâce à une carrière prolifique. Une
acquisition stratégique dans une ville où le prix du mètre carré
peut grimper jusqu’à 6 611 €, voire 8 777
selon le site Meilleurs Agents.

Un bien rare, une collection inattendue et des souvenirs
tenaces

Sa maison dans les Yvelines, estimée à plus de
2 millions d’euros, a pourtant été le théâtre d’un
épisode plus sombre : un cambriolage survenu en
2016
. « On ignore, pour le moment, ce que le ou
les voleurs ont dérobé », avait précisé la police à
l’époque. Cela ne l’empêche pas d’aimer cette maison qu’elle
partageait encore récemment avec son fils Rudy
Berry
. « Il est toujours chez moi à 27 ans et
j »en suis très heureuse. C’est plus facile car nous avons une
grande maison, nous ne sommes pas les uns sur les autres. Il a une
forme d’indépendance », avait-elle confié à Paris
Match
.

Et puis, il y a cette passion pour les chiens en
faïence
. Invitée sur C à Vous, elle avait
lancé sans détour : « Une collection n’est valable que
s’il y a une accumulation d’objets de mauvais goût. J’ai une
accumulation de chiens. Je suis très fière d’un berger allemand
bleu ».

De Pigalle à Jouy-en-Josas, un flair immobilier avisé

Avant ce cocon à la campagne, Josiane Balasko
avait également investi dans un autre quartier bien connu :
Pigalle, dans le 9e arrondissement de
Paris
. « À l’époque, j’avais fait des emprunts
pour l’acheter. Aujourd’hui, je ne pourrais plus me
l’offrir », avait-elle avoué dans Le
Parisien
.

Ces achats, elle les doit à une carrière aussi solide
qu’iconique, jalonnée de rôles dans des films cultes comme
« Les Bronzés », « Gazon Maudit », ou
« Retour chez ma mère ». Et même si elle aime
plaisanter sur sa fortune, elle reste lucide : « Je suis
très aisée. Moi je pense que je suis aisée […] Quand déjà on n’a
pas à faire ses comptes, je pense que c’est un
privilège », avait-elle expliqué sur le plateau de
Clique. Mais ce confort ne l’empêche pas de garder
les pieds sur terre : « J’achète des conneries. […]
Je bouffe bien, j’invite des copains à la maison, je distribue du
pognon à ma famille », continuait-elle. « Faut
partager un peu parce qu’on va pas être le plus riche du
cimetière », ajoutait-elle avec franchise et humour.

Josiane Balasko et Marilou Berry

Si Marilou Berry est aujourd’hui une actrice
reconnue, sa relation avec sa mère n’a pas toujours été un long
fleuve tranquille. Invitée avec elle sur Quotidien
en décembre 2025, la comédienne s’était confiée avec tendresse :
« C’est une maman, qui s’est pas trop mal démerdée […]
même si quand j’avais 16 ans c’était plus compliqué ». Ce
à quoi Josiane Balasko avait répondu, non sans
ironie : « Elle claquait les portes, mais c’est normal à
cet âge (…) Les portes claquaient à l’adolescence, et quand elle
a voulu devenir comédienne elle m’a fait un chantage odieux
! ».

Un duo complice qui se retrouvera sur scène dès le 23
janvier 2026
dans la pièce Ça, c’est l’amour,
programmée au théâtre des Bouffes Parisiens. Une
immersion au cœur de leur lien mère-fille, aussi fort sur les
planches qu’en dehors. Et ce lien se prolonge avec la nouvelle
génération, puisque Josiane Balasko est aussi
grand-mère d’un petit Andy, né de la relation
entre Marilou Berry et Le
Diamantaire
.