Dans le département, terre « historique » de data centers, c’est la première fois qu’un dossier de ce genre génère un tel niveau de contestation. « Il y a eu quelque 300 contributions déposées lors de l’enquête publique qui s’est terminée début novembre », confirme Jean-Marie Baty, de l’association de protection environnementale MNLE 93. Le refus est aussi relayé par les élus de gauche, comme de droite, du député Aly Diouara (LFI) au sénateur Vincent Capo-Canellas (UDI).