« Sur ces dix dernières années, les journaux qui avaient beaucoup de publicité l’ont perdue, car elle est plus individualisée sur les réseaux sociaux, a-t-il poursuivi. Les réseaux sociaux ne sont pas faits pour nous informer, leur modèle c’est de vendre de la publicité individualisée. Mécaniquement, il crée de la dépendance. Aujourd’hui, chez les jeunes, on est à 4h20 par jour. Il faut réussir à freiner ça. »