La recherche au sein du centre hospitalier universitaire (CHU) de Grenoble est reconnue à l’échelle nationale. Trois de ses projets sont lauréats d’un financement dans le cadre de la sélection 2025 du Programme hospitalier de recherche clinique national (PHRC-N). Le premier est porté par la professeure Laurence Bouillet et son équipe des services de médecine interne/immunologie clinique. Ils vont mener une étude sur le traitement de l’angio-oedème héréditaire, une maladie génétique qui provoque des œdèmes sous cutanés. Son financement s’élève à 670 541 euros.
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Le Pr Pierre Bouzat du pôle anesthésie réanimation dispose, quant à lui, de 886 192 euros pour mener une étude sur l’effet de l’administration de vasopressine (hormone qui favorise la réabsorption d’eau dans l’organisme) sur les défaillances d’organes. Le dernier projet est porté par le néphrologue Thomas Jouve. Avec 916 764 euros, il va mener des tests sur le tacrolimus, un immunosuppresseur indiqué pour la prévention du rejet de greffes.
Par ailleurs, conjointement avec l’Assistance publique – Hôpitaux de Marseille (AP-HM), le CHU de Grenoble est impliqué dans un projet de recherche visant à améliorer le système de santé français, en le comparant notamment à l’internationale. Il est porté par le professeur Bastien Boussat.