Cette semaine, l’ancien maire Bruno Gilles (Horizons), muet jusqu’ici sur le dossier qui oppose des habitants soutenus par le Printemps marseillais au bailleur public PML, a pris pour la première fois la parole dans une vidéo sur les réseaux sociaux.

Il y dénonce les menaces reçues sous la forme de deux messages dans sa boîte aux lettres, lui qui vit depuis toujours dans ce quartier. « J’ai bien sûr déposé plainte », assure-t-il, tout en dénonçant une « opération politique à trois mois des élections », le portillon étant fermé « depuis 2019 », selon lui.