capitale – Le parti de l’eurodéputé Raphaël Glucksmann, participe à la coalition de gauche menée par le socialiste Emmanuel Grégoire pour succéder à Anne Hidalgo à la mairie de Paris
« Un rapport à la politique qui est fait de violence, de brutalité ». A l’occasion d’une déambulation dans le 5e arrondissement de Paris, l’eurodéputé Raphaël Glucksmann a estimé que l’enjeu de la campagne des municipales à Paris serait un « choix entre le progrès et le trumpisme conservateur ».
« La démocratie est en train de s’abîmer par des discours extrêmement durs et des attaques très violentes en permanence : ce n’est pas notre manière de faire de la politique et on va l’assumer », a poursuivi celui dont la liste aux élections européennes était arrivée à la troisième place en 2024. Il se trouvait aux côtés du candidat socialiste Emmanuel Grégoire, à la tête d’une coalition de gauche pour succéder à Anne Hidalgo à la mairie de Paris.
« On nous expliquera qu’à l’heure des réseaux sociaux, ce qu’il faut, c’est faire du Trump. Eh ben non. En fait, on va montrer qu’il y a autre chose dans la vie politique et que cette autre chose peut gagner », a encore insisté Raphaël Glucksmann.
« Choc de projets »
Emmanuel Grégoire a pour sa part estimé que la campagne serait « un choc de projets » face à la candidature de Rachida Dati, maire du 7e arrondissement et candidate malheureuse à la mairie centrale en 2020, soutenue par Les Républicains et le Modem.
Après la conclusion cette semaine d’un accord dès le premier tour avec le PCF, Place publique et, surtout, les Ecologistes, ces derniers faisaient traditionnellement cavalier seul aux municipales à Paris avant le second tour, Emman(…)
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