Actuellement en tournée avec son concert baptisé « Revolver « , le chanteur et acteur enchaîne les prises de paroles. Il s’est récemment confié à nos confrères du Parisien sur sa belle histoire d’amour avec Adriana Karembeu sur laquelle il ne tarit pas d’éloges. L’ex-mari de Sarah Lavoine est même allé jusqu’à assurer qu’il n’avait jamais connu pareil amour. « C’est un miracle. Le bonheur existe, et pourtant j’étais prêt à me barrer, à partir. Je ne voulais plus chanter, je ne voulais plus rien faire. C’était devenu insupportable, irrespirable de vivre à Paris. Et puis un jour, vous voyez quelque chose, quelqu’un qui vous parle, et vous la croyez. À ce moment-là, tout ce dont vous avez rêvé apparaît. J’ai cherché ça toute ma vie » , a-t-il avoué. A lire également : “J’ai cherché ça toute ma vie” : Marc Lavoine fou amoureux d’Adriana Karembeu, il fait de touchantes confidences Marc Lavoine et son bonheur enfin trouvé Et de poursuivre avec une question rhétorique : « Qu’est-ce qu’il y aurait de mieux, entre vivre et mourir, que d’aimer ? » . Son bonheur, « C’est maintenant » : « J’ai connu des petits bonheurs, mais le bonheur, c’est autre chose, c’est un parfum, entrer dans une pièce et vous comprenez tout, vous comprenez pourquoi vous êtes vivant ». Invité dans Un dimanche à la campagne le 27 avril dernier, le chanteur est revenu sur un épisode de sa vie beaucoup moins joyeux, voire dramatique… En effet, Marc Lavoine s’est souvenu de cette fois où il a découvert sur son père trompait sa mère. Le chanteur raconte comment il a découvert que son père était infidèle à sa mère « A l’enterrement de mon grand-père – je devais avoir 12 ans, ou 10 ans –, je voulais jouer au foot, parce que je m’embêtais et il y avait des adultes partout » , a-t-il commencé par raconter. Puis de reprendre : « Alors je descends l’escalier, et j’ai en face de moi une sorte de petit débarras où on pendait les manteaux, et mon ballon était là-dedans, donc j’ouvre le truc, je vais pour saisir mon manteau, et je vois les pieds d’un homme contre une femme… Et les pieds d’une femme sur la pointe des pieds, devant moi… ». Et là, c’est le drame… « Je lève les yeux, et je vois mon père en train de faire l’amour à une fille, qui était une fille du parti communiste, une camarade, dont le mari était au-dessus en train de parler avec ma mère » , a-t-il continué de raconter. Il se souvient avoir ramassé son ballon puis d’avoir regardé son père qui s’est contenté de lui lancer en guise de justification et avant de fermer la porte : « Oh ! Marco ! Je suis malheureux » . Sous le choc de la scène à laquelle il venait d’assister le garçonnet de l’époque est allé taper son ballon contre le mur dans la rue et s’est rappelé s’être dit : « Mon père est en bas, je ne dois pas le dire à ma mère » . Un épisode marquant pour lui et qui lui a donné l’impression d’ « un immeuble qui me tombe sur la tête »…