INFO LE FIGARO – L’enquête est confiée à la sûreté territoriale, du chef d’outrage à personne dépositaire de l’autorité publique. L’Algérie avait refusé de reprendre cet influenceur de 29 ans sous OQTF, qui avait écopé en janvier de huit mois de prison pour apologie du terrorisme.

Insultes en Arabe, moqueries, incitation à la violence contre les policiers. Dimanche, le ministère de l’Intérieur effectuait un signalement sur la plateforme Pharos contre l’influenceur algérien l’influenceur algérien Mahdi B. après une vidéo Tiktok tournée à Châtelet – Les Halles à Paris à une date inconnue. Une «enquête a été confiée à la sûreté territoriale de Paris du chef d’outrage à personne dépositaire de l’autorité publique» et «les investigations sont en cours», indique désormais le parquet de Paris au Figaro. De son côté, Beauvau souligne qu’«une enquête judiciaire a été ouverte aux fins d’interpellation».

Mahdi B. pourrait donc de nouveau avoir affaire à la justice française, qu’il connaît déjà bien. En janvier, le jeune homme avait été interpellé après la diffusion d’une vidéo dans laquelle il banalisait les actes terroristes en France. Jugé en comparution immédiate, Mahdi B. avait été condamné à huit mois de prison ferme au tribunal judiciaire de Bobigny et écroué pour apologie…

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