Trente plaintes attendent Marjorie, gardien de la paix, à son arrivée au commissariat de Strasbourg ce vendredi matin. Des administrés les ont déposées depuis la veille, en ligne. « En rentrant à midi […], impossible d’ouvrir ma porte : le serrurier m’a expliqué que celle-ci avait été forcée sans que le responsable de cette tentative d’effraction ne parvienne à rentrer dans mon appartement », déplore un retraité du quartier du Contades.
Affectée à la réception des plaintes en ligne, la policière vérifie que le plaignant a donné toutes les informations nécessaires. « Est-ce qu’il y a eu des violences ? Est-ce qu’il y a un suspect ? » s’interroge-t-elle. Négatif. Trois minutes plus tard, la…