Dans un communiqué le député écologiste dénonce des choix politiques à l’origine des « rues submergées, tramways à l’arrêt, tunnels inondés »…

« La météo a parlé : stop au béton ! » Candidat aux municipales, Jean-Louis Roumégas n’a pas tardé à réagir sur les conséquences des inondations. « Rues submergées, tramways à l’arrêt, tunnels y compris les plus récents… Ce n’est pas une fatalité climatique, c’est le résultat de mauvais choix politiques. »

« Rompre avec le béton »

L’élu écologiste dénonce « le modèle d’urbanisme amorcé par Frêche et poursuivi par Mandroux, Saurel et aujourd’hui Delafosse. Résultat : 80 % du sol de Montpellier est bétonnisé et ça continue encore. » Le candidat appelle à « rompre avec le béton, la logique des grands projets et l’hypocrisie des discours sans acte. »

Seule solution selon Roumégas : le zéro artificialisation nette des sols et la désimperméabilisation de 60 ha à Montpellier.