JD Vance se dit inquiet et admet qu’il considère les armes nucléaires possédées par nos pays voisins comme des risques pour la sécurité du territoire américain : « S’ils [la France et le Royaume-Uni] se laissent submerger par des idées morales extrêmement néfastes, on permet alors que des armes nucléaires tombent entre les mains de personnes capables de nuire très gravement aux États-Unis ».
Le vice-président s’exprime ici très explicitement sur les personnes qui sont liées à l’islamisme. Il considère que certaines personnes adhérentes de l’idéologie occupent des fonctions publiques dans des pays européens. Il précise ensuite qu’il s’agit « d’une minorité » et que ces personnes sont un « risque » potentiel au long terme. Il souligne que « quelqu’un ayant de telles convictions acquière une influence majeure dans une puissance nucléaire européenne. Dans cinq ans ? Non. Mais dans quinze ans ? Absolument. Et cela constitue une menace directe pour les États-Unis. »
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