Un verre de chocolat chaud à la main, Moussa, 19 ans, observe les couchages, disposés sur le sol d’une des salles de la Métropole de Grenoble. En ce matin de Noël, jeudi 25 décembre, il admet volontiers être triste à l’idée de passer les fêtes de fin d’année dans une grande précarité. « Noël c’est la joie, c’est la sécurité. Dans notre situation, il n’y a pas de Noël pour…