Vous avez manqué les infos de ce début de matinée ? On vous a concocté un récap pour vous aider à y voir plus clair, et briller chez vous ou à la machine à café.
Icône française, Brigitte Bardot était également une star internationale. Les médias du monde entier ont évoqué, ce lundi, la disparition de l’artiste française, entre hommages et commentaires critiques. En Italie, c’est un « mythe national français » qui disparaît, selon l’agence de presse nationale Ansa, pendant que La Repubblica évoque « une diva rebelle » qui « a choisi la liberté jusqu’au bout ». Alors que le El Mundo, journal espagnol, compare Brigitte Bardot à Marilyn Monroe, le New York Times titre sans équivoque : « Du sex-appeal à l’extrême droite ». Le quotidien américain estime que, loin d’être « une figure consensuelle », Bardot a représenté « l’une des premières stars problématiques de l’époque moderne ».
Alors que le nombre de très grands excès de vitesse a explosé depuis une petite dizaine d’années, les excès de plus de 50 km/h seront plus lourdement sanctionnés à compter de ce lundi 29 décembre. Les contrevenants s’exposent à une peine de trois mois d’emprisonnement et jusqu’à 3.750 euros d’amende. Le chauffard fera également l’objet d’une inscription de la condamnation sur son casier judiciaire, révèle le décret publié mercredi au Journal officiel. Les automobilistes roulant trop vite verront aussi leur véhicule confisqué et leur permis suspendu pendant trois ans. La Sécurité routière a salué, la semaine dernière, une « réponse judiciaire plus ferme » face aux grands excès de vitesse.
Au lendemain de la rencontre Trump-Zelensky en Floride, le président américain et le Kremlin se montrent optimistes. Tous deux estiment que les pourparlers visant à mettre fin à la guerre en Ukraine en sont à leur phase finale. « Je ne veux pas dire quand, mais je pense que nous allons y arriver », considère Donald Trump, lequel propose aussi de venir s’exprimer devant le Parlement ukrainien pour faire avancer son plan de paix.
Volodymyr Zelensky se montre plus mesuré. Il explique ce lundi que les Etats-Unis ont proposé à l’Ukraine des garanties de sécurité « solides » pour une période de 15 ans prolongeable. Mais affirme que tout plan pour mettre fin à la guerre devra être signé par Kiev, Moscou, Washington et les Européens. Une réunion des alliés de Kiev est annoncée début janvier à Paris.