Le passage du virtuel à la réalité est parfois violent. Un sexagénaire, domicilié dans la banlieue de Nancy, vient d’en faire la douloureuse expérience. Marié, il souhaite mettre un peu de piment dans sa vie sexuelle et se connecte sur un site internet spécialisé de tchat « gratuit, sans inscription et anonyme », vante ledit site.
Suffit de compléter quelques cases de la page d’accueil (âge, code postal, genre) et de s’inventer un pseudonyme pour entrer en discussion avec d’autres personnes. Qu’on ne s’y méprenne pas. Ceux et celles qui sont connectés ne le sont pas pour parler de…