L’épouse de l »ancien pilote de F1 Jenson
Button victime d’un vol à Londres : 300 000 euros de biens de luxe
dérobés en pleine rue !
Brittny Button,
mannequin américain et épouse de l’ancien pilote de Formule 1
Jenson Button, a été victime d’un vol à Londres, où elle affirme ne
plus vouloir remettre les pieds.
Les faits se sont
déroulés le 13 février dernier à la gare de Saint-Pancras, peu
après le retour du couple d’un séjour en France à la veille de la
Saint-Valentin.
Un vol éclair en pleine gare de
Londres
Alors que l’ex-pilote
de F1
Jenson Button aidait un chauffeur à charger leurs bagages, un
homme a profité d’un moment d’inattention pour s’emparer d’une
valise Goyard appartenant à Brittny.
Le bagage contenait
environ 300 000 euros de produits de luxe, dont deux sacs à main
estimés chacun à plus de 80 000 euros. L’acte, rapide et discret,
semble avoir été prémédité.
« J’étais un peu
choquée, a-t-elle confié au Daily Mail dans une interview publiée le 30
avril. Il y avait tellement de monde, tout paraissait
chaotique. Un homme est arrivé, a attrapé la valise et s’est enfui.
On ne l’a même pas vu faire. Ils nous surveillaient probablement.
»
Des objets de luxe à forte valeur
sentimentale
Cinq jours après le
vol, un homme de 41 ans a été interpellé et placé en détention
provisoire. Plusieurs objets dérobés ont ensuite été repérés sur
des plateformes de vente en ligne, confirmant l’hypothèse d’un vol
organisé et ciblé.
Au-delà de leur prix, certains
objets volés avaient une grande valeur affective. Brittny Button
comptait notamment transmettre les deux sacs de luxe à ses filles,
nées de son union avec Jenson Button, champion du monde de F1 en
2009. « Peu importe la valeur marchande : quand c’est
sentimental, c’est sentimental », a-t-elle insisté.
L’ancien pilote de F1 ne veut plus retourner à
Londres
Ébranlés par
l’incident, Brittny et Jenson Button affirment ne plus vouloir
retourner au Royaume-Uni. « Londres était une ville que nous
aimions, mais aujourd’hui, elle nous fait peur. Nous n’avons plus
envie d’y remettre les pieds », confie-t-elle.
Elle conclut
toutefois avec un soulagement : « J’ai le sentiment d’avoir
obtenu justice. Il devra répondre de ses actes. »