L’école Henri-Lesage était la dernière des trois écoles de la ville – avec celles des Treilles et des Reigniers – à attendre l’ouverture du restaurant scolaire. C’est désormais chose faite. Les offices de restauration fonctionnent normalement. La salle Sèvre-et-Maine, qui accueillait les enfants depuis presque deux ans, vient de retrouver son utilité première.

Agnès Goudollet, la responsable du restaurant scolaire, a présenté les nouvelles installations. Dès l’entrée, après avoir badgé, les enfants se servent d’abord au self froid puis au chaud. La salle peut accueillir 370 élèves et quatorze membres du personnel. L’établissement est sobre en consommation énergétique, (moins 60 % par rapport à l’ancien), avec des couleurs vives et chaudes. La taille du bâtiment a été étendue de 163 m2. À noter qu’aucune hausse de tarif n’est intervenue pour cette ouverture. 95 % des enfants scolarisés à l’école Henri-Lesage restent à déjeuner. Vingt-quatre places supplémentaires ont été créées en classe élémentaire.

Ces transformations apportent une amélioration conséquente des conditions de travail des agents ; les surfaces de travail et de plonge, les bureaux et les vestiaires sont plus grands.

Avec ces travaux, les services restauration ont été adaptés au système de liaison froide, en lien avec la nouvelle cuisine centrale mutualisée, la Fabrik du Sud Loire ; des lignes de self et/ou de desserte permettent la fluidité du passage des élèves, et les surfaces et les équipements sont en adéquation avec la fréquentation en hausse des restaurants scolaires.

Selon le maire, Rodolphe Amailland,  l’école ne se limite pas à la salle de classe. Un repas équilibré, pris dans un cadre serein, c’est aussi une manière d’apprendre, de grandir, de s’épanouir. Et derrière chaque plateau-repas, il y a un métier, une personne, un engagement .

Le budget total pour les trois écoles est de 4 millions d’euros, financé par la municipalité et par l’État, via le Fonds vert.