RÉCIT – Qualifié pour la première finale européenne de son histoire, le club girondin n’en finit pas de grandir.

L’appétit vient en mangeant. Même si la digestion est un peu pesante quand on vient d’engloutir un ogre comme le Stade Toulousain. Bordeaux-Bègles a écrit dimanche l’une des plus belles pages de son histoire récente en faisant chuter, avec la manière et la maîtrise, le club le plus titré de France. Pour décrocher son premier billet pour la finale de la Champions Cup, le 24 mai à Cardiff face aux Anglais de Northampton. Yannick Bru, l’homme fort du club né de la fusion du Stade Bordelais et du CA Bègles en 2006, savoure ce coup d’éclat. Sans vouloir s’enflammer : « Je suis très fier de mes joueurs. C’est une étape supplémentaire dans notre construction. Nous avions dit avant le match que si on perdait de 3 points, cela ne remettrait pas en cause la trajectoire de l’UBB. Maintenant, nous avons gagné et nous sommes particulièrement contents. »

Après avoir déjà franchi un cap en 2021, sous les ordres de Christophe Urios, en disputant une demi-finale du championnat et de la Coupe d’Europe…

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Le Figaro

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