DÉCRYPTAGE – Des brioches industrielles aux plats préparés, les produits ultratransformés font notre quotidien. Et pourtant, ils ne nous sont pas favorables. Pourquoi ? Et jusqu’à quel point ?
Un pot de Nutella, une boîte de Rochers Ferrero, du Caprice des dieux… Trois denrées alimentaires au top des ventes en grandes surfaces en France, trois produits ultratransformés dans nos placards et nos frigos. Bien loin des recommandations des autorités sanitaires et du corps médical sur la nécessité d’adopter un régime alimentaire plus riche en aliments « bruts », fruits, légumes et légumineuses, viandes et poissons à cuisiner soi-même, voire confitures, soupes et conserves « faites maison ». Louable ambition… Mais une vue de l’esprit pour une majorité d’entre nous.
Pratiques à accommoder, généralement d’un prix raisonnable, flatteurs au goût et à la vue, les produits de l’industrie alimentaire cochent les bonnes cases lorsque, par exemple, on est un jeune actif chargé de famille : « Les céréales du petit déjeuner pour les ados – chacun sa marque –, les pizzas surgelées ou les plats préparés à glisser dans le four quand je rentre tard du bureau… Tout cela me facilite…
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